Boris GRIMAL-FALL, capitaine de l’équipe Senior Masculine de Massy, a interviewé Hodor, la mascotte.
Comment t’appelles-tu ? Comment t’appelle-t-on ?
Hodor. Tout le monde m’appelle Hodor ici, on est en famille, on vit ensemble.
Hodor, tu es la mascotte mais aussi l’âme des Séniors Masculins (SM) de Massy depuis 4 ans. Comment cela est arrivé ?
Tu sais, tout Démon Féérique a des envies à assouvir. Ici, on envoie des parpaings, on broie du joueur, on brise littéralement des hommes au service. C’était comme une évidence qui s’est imposée à moi. J’avoue que secrètement, je nourris l’espoir de voir un jour un gymnase cramer ou une fracture ouverte d’un libéro sur une attaque surpuissante ; on y travaille, je croise les doigts…
Comment se passe la relation avec les joueurs ?
Parfaitement bien. Régulièrement, je m’incruste chez l’un ou l’autre. Ils me gâtent, me font partager leur quotidien entre apéros avec les copains, séances sportives, soirées et weekend variés. A Massy, on sait s’amuser, lâcher prise mais dès que l’heure de l’entrainement arrive, c’est du sérieux, on est prêts à tout, on s’engage à fond et pour les matchs, l’ombre d’Hodor plane sur le gymnase.
La légende raconte qu’un jour d’automne, il a plu à l’intérieur tant mon aura était puissante.
Un souvenir à partager ?
J’en ai des milliers, lequel choisir ?
Lors d’un match à domicile, notre central touché par ma grâce a vraiment malmené l’équipe adverse et notamment leur 4. A force de le matraquer, il lui a imprimé « Molten » sur la poitrine ! C’était beau à voir.
A priori d’ailleurs, ça ne lui a pas déplu puisqu’il joue parmi nous depuis 3 ans maintenant !
C’est comme ça le sport, le syndrome de Stockholm !
Un dernier mot ?
Bien sûr. L’important c’est de participer (rire). Non je déconne. Pousse ton micro ou je te brise correspondrait mieux.
Merci Hodor.
